25ème Session de l’UAT : Coopération et Défis Financiers au Programme

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La République Démocratique du Congo accueille, du 8 au 10 juillet 2024, la 25ᵉ Session ordinaire du conseil d’administration de l’Union Africaine des Télécommunications (UAT). Cette rencontre réunit des décideurs politiques africains pour discuter des stratégies visant à améliorer l’accès aux infrastructures et aux services

Durant ces trois jours, les participants auront l’occasion de formuler des politiques et des stratégies en faveur des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC). L’événement s’inscrit dans le programme d’actions du gouvernement pour

Les représentants de plusieurs des 53 États membres de l’UAT participent à ces assises, cruciales pour l’avenir du secteur des télécommunications en Afrique et en République Démocratique du Congo. Le Premier ministre a souligné l’importance de la coopération entre les pays membres pour y assister.

John Omo, secrétaire général de l’UAT, a rappelé les défis financiers auxquels l’organisation est confrontée, notamment le manque de financement adéquat. Si la RDC est à jour dans ses cotisations, plusieurs autres États membres ne le sont pas, ce qui entraîne la non-réalisation de certaines initiatives. De plus, seulement 31 des 53 membres ont ratifié la constitution de l’Union, limitant ainsi son fonctionnement optimal. La ratification de la constitution de l’UAT permet aux États membres de renforcer leurs capacités nationales, de développer des politiques et des cadres réglementaires favorisant la transformation numérique.

L’UAT a pour mission d’accélérer le développement des télécommunications en Afrique pour développer les économies numériques. Elle envisage une Afrique inclusive avec des économies numériques solides pour un développement durable. La ratification de la convention et de la constitution de l’UAT permet aux États de renforcer leurs compétences, de développer des politiques et d’établir des cadres réglementaires privilégiant la transformation numérique. En ratifiant ces documents, les États peuvent exploiter l’expertise et le soutien des autres membres pour stimuler l’innovation et accélérer le progrès socio-économique.

 

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